Ce projet s'est fait en collaboration avec Tiffany, une collègue devenue amie. Elle m'a accompagnée lors des interviews utilisateur et des ateliers d'idéation.

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La première étape pour ce projet a été de se rendre dans un club sportif à Toulouse, celui dans lequel Déciplus avait le plus d'utilisateurs. Nous y sommes restées de 17h à 19h et nous avons discuté avec une dizaine de personne en tout. La démarche était de parler de l'application : est-ce qu'ils connaissaient ? Est-ce qu'ils l'avaient déjà utilisée ? Qu'en pensaient-ils ?

En fonction des réponses et du temps qu'ils avaient, nous passions au test : ils devaient réaliser une série d'actions sur l'application. Nous observions et posions des questions ouvertes en cas d'hésitation ou d'erreur.

Nous avons fait un compte rendu et avons préparé un atelier d'idéation.

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2 ateliers importants étaient au programme : du wireframing (les participants avaient 30secondes pour maquetter 1 écran précis avant de participer à la mise en commun pour expliquer leurs idées) et de la sélection de fonctionnalité (une trentaine de fonctionnalités étaient envisagées pour cette V2. Il fallait faire le tri parmi les plus importantes).

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La quasi totalité de l'entreprise avaient participé à ces ateliers, ce qui avait été très motivant. Après un compte-rendu sur les ateliers, le maquettage pouvait commencer.

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Après quelques écrans en wireframes pour figer le layout général et le userflow, j'ai travaillé sur l'UI. Une chance pour moi : l'entreprise me laissait carte blanche. Elle souhaitait juste retrouver ses couleurs d'origine, un rose, un vert et un bleu. Pendant environ 2 semaines à temps plein, j'ai avancé. J'ai également fait des points réguliers avec le chef de projet pour vérifier que j'allais dans la bonne direction.

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Enfin, j'ai travaillé le prototypage de certaines parties. Il a été nécessaire, afin d'exprimer au mieux ma vision de l'expérience, de perfectionner des interactions grâce aux animations. Et comme un dessin vaut mieux que mille mots, j'ai produit plusieurs mini vidéos.

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Pour finir, j'ai exporté les plans de travail demandés qui allaient être présentés à un salon très prochainement. J'ai livré tous les fichiers nécessaires pour que le futur UX designer puisse reprendre le flambeau.